Filière Animal
Marché et économie
MARCHÉ ET ÉCONOMIE DES FILIÈRES : accompagner les coopératives dans l’adaptation de leurs produits aux marchés et les aider à assurer leur compétitivité
Ambition du Pôle Animal de La Coopération Agricole
Le Pôle Animal accompagne, les coopératives agricoles dans l’orientation de la production des agriculteurs en réponse aux attentes des marchés et à la montée en gamme.
Pour cela, les 6 sections du Pôle Animal mettent à disposition des adhérents leurs connaissances des marchés et leur expertise juridique et accompagnent la définition de nouveaux marchés.
Cette volonté se traduit notamment par la montée en puissance du Label Rouge en filière bovine, le développement des Signes d’Identification de la Qualité et de l’Origine (SIQO) en filière ovine, le lancement prévu en 2022 du nouveau cahier des charges « Le Porc Français ».
C’est aussi le soutien au « Manifeste de la filière volaille » et la réflexion sur la durabilité de l’alimentation en filières nutrition animale, avicole et porcine.
Il réalise ses analyses en complémentarité avec le service économique de la Direction Compétitivité Transition Ecologique (Eco2) de La Coopération Agricole.
Développement d’outils pour les filières
Le Pôle Animal de La Coopération Agricole participe au développement des outils d’organisation de marché et d’amélioration des performances technico-économiques des exploitations :
- APIBOV en filière bovine ;
- SICOOP à destination des coopératives ayant une activité en filière ovine (outil de prévision de l’offre).
Retrouvez l’ensemble de nos outils sur la page dédiée.
Enjeux économiques des filières liés aux attentes sociétales.
Enfin, les actions du Pôle Animal et des adhérents des 6 sections s’inscrivent pleinement dans la vision 2030 de La Coopération Agricole ainsi que dans l’ambition décarbonation « Économie ZEN (Zéro Emissions Nettes) 2035 ».
Pour cela, les équipes sont mobilisées afin d’accompagner les ambitions et les évolutions règlementaires nécessaires pour atteindre ces deux objectifs.
À titre d’exemple, l’indispensable réflexion sur l’autonomie protéique, afin de réduire les importations de protéines végétales, est déjà engagée. Cela nécessite un important travail d’accompagnement des filières afin de développer des sources de protéines locales couplées à une plus grande durabilité des importations.