En réduisant la proportion de protéines animales, la France pourrait certes réduire certains impacts environnementaux, mais dégraderait la biodiversité et la disponibilité de la ressource en eau. En outre, diminuer la part des protéines animales en dessous de 50 % des protéines totales de la ration (sans complément alimentaire) compromettrait l’adéquation nutritionnelle de la majorité de la population française.

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