Il est impératif de reporter la mise en œuvre de la méthode écobalyse en France en raison des lacunes méthodologiques et de l’absence de validation européenne. C’est ce que demandent les interprofessions animales (Interbev, Anvol et INAPORC) dans une lettre commune à l’attention d’Agnès Panier Runacher. En effet, les expérimentations prématurées risquent de nuire à la compétitivité et la souveraineté alimentaire de la France sans pour autant permettre d’encourager les transitions. A l’image de ce qui est fait dans le textile, nous demandons notamment un dispositif ne comparent pas les catégories d’aliments entre eux.
