De la responsabilité environnementale à la création de valeur

Une démarche de responsabilité sociétale et environnementale déployée à chaque étape
Depuis 1994, la coopérative Cooperl s’est résolument engagée dans une démarche d’agriculture durable. Elle a développé une solution innovante aux différentes problématiques environnementales qu'elle a rencontré. Une véritable industrie de l’environnement qui s’équilibre aujourd’hui sur les plans écologiques et économiques, ouvrant de nouvelles perspectives de valorisation des coproduits (produits secondaires) pour la coopérative.
Si cette démarche a débuté par une prise de conscience des problématiques environnementales dans les exploitations agricoles, elle concerne aujourd’hui toutes les activités industrielles de la Cooperl.
L’industrie de l’environnement, 4 pôles pour créer de la valeur environnementale... et économique !
«A chaque problématique environnementale correspond un outil : traitement des lisiers, eau, énergie, valorisation des coproduits de l’abattage», explique Franck Porcher, Directeur des activités environnementales de la Cooperl.
La notion de déchet n’existe pratiquement plus : moins de 1% des coproduits part en décharge ultime. Le projet permet de valoriser 350 000 tonnes de coproduits par an, de traiter 1 400 000 mètres cubes d'eau, de produire 120 000 tonnes de vapeur et 50 000 tonnes de fertilisants naturels.
Zoom sur les 4 axes d'action
EAUX :
1 400 000 mètres cubes sont traités chaque année, l'équivalent d'une ville de 400 000 habitants.
INGREDIENTS :
Protéines et graisses : créée en 1998, l’usine collecte dans les abattoirs et les ateliers de découpe bretons de Cooperl, les viandes et les produits non destinés à la consommation humaine. Ces produits peuvent être transformés en protéines pour l’aquaculture, l’alimentation pour animaux de compagnie et en fertilisants pour l’agriculture biologique, et en graisses pour le marché de l’alimentation animale, les animaux de compagnie, l'oléochimie et et les biocarburants.
Microalgues : projet initié en 2013, il permettra en phase industrielle, à partir de 2021, de valoriser l'énergie fatale et le BioCO2 issu de la méthanisation.
BIOENERGIE :
Le traitement des différents déchets permet également d'obtenir de l'eau chaude pour chauffer les bâtiments, de l'énergie renouvelable (120 000 tonnes de vapeur produites), du Biogaz (Emeraude bio-énergie) et du Biocarburant.
FERTILISANTS NATURELS
Le traitement des déchets permet également de créer des fertilisants, grâce à Dénitral et Fertival, qui produit 50 000 tonnes de fertilisants naturels.
Découvrez une partie de l'action de la coopérative dans notre vidéo :